Partenaires
Gouvernement de Madagascar
Pour mettre en œuvre le projet BIOCOM, l’UNESCO coopère avec :
Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD)
- Propriétaire des aires protégées
- Facilite la coordination du projet et la coopération avec les autorités
Ministère de l’Education Nationale (MEN)
- Appuie la mobilisation et le fonctionnement des écoles
- Collabore avec l’UNESCO pour mettre en œuvre des activités d’éducation au développement durable (EDD)
Ministère de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (MEFTP)
- Approuve l’ouverture des centres d’EFTP
- S’assure de la disponibilité et de l’affectation des enseignants et du personnel administratif dans les centres d’EFTP
Partenaires de mise en oeuvre
Le projet BIOCOM est mis en œuvre en collaboration avec :
Madagascar National Parks (MNP)
- Mise en œuvre des activités des résultats 1 et 2 dans et autour des forêts humides de l’Atsinanana, bien du patrimoine mondial
- Soutien à l’Association Vahatra pour la recherche scientifique
Service d’Appui à la Gestion de l’Environnement (SAGE)
- Mise en œuvre des activités des résultats 1 et 2 dans le paysage harmonieux protégé de la Montagne des Français
- Soutien à l’association Vahatra pour la recherche scientifique
Association Vahatra
- Mise en œuvre d’activités de recherche scientifique
Comités directeurs
Pour assurer la réussite du projet BIOCOM, il existe deux comités:
COMITÉ DIRECTEUR
Rôles :
- Assurer le bon fonctionnement du projet
- Améliorer son suivi
- Guider les choix stratégiques
Responsabilités :
- Piloter des activités de diffusion, en assurant la cohérence et la durabilité du projet
- Mobiliser les acteurs stratégiques (gouvernements, communautés locales, parties prenantes, donateurs, associations, structures associées)
COMITÉ DE SUIVI SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
Rôles :
- Apporter la cohérence des activités au projet
Responsabilités :
- Assurer la qualité des activités réalisées et la progression de la mise en œuvre du plan de travail
UNESCO
Notre mission depuis 1945 est de construire la paix par la coopération internationale car c’est le seul moyen de construire des ponts entre les nations. C’est pourquoi, en tant que laboratoire d’idées, l’UNESCO cherche à offrir un large éventail d’expertise dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.
Les priorités globales de l’UNESCO sont l’Afrique et l’égalité des genres. À ce titre, l’UNESCO et ses partenaires de développement sont attentifs à ce que les 54 pays africains bénéficient d’une stratégie plus forte et mieux ciblée. La Renaissance africaine est en marche, avec l’adoption de l’Agenda 2063 de l’Union africaine et de l’Agenda 2030 pour le développement durable qui préparent le terrain pour la Communauté économique africaine. À cette fin, les communautés régionales consolident leurs liens.
KOICA
L’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) a été créée en 1991 sous l’égide du ministère des Affaires étrangères de la République de Corée afin de garantir l’efficacité des programmes d’aide. En partageant l’expérience et le savoir-faire de la Corée en matière de développement avec ses pays partenaires, la KOICA vise à lutter contre la pauvreté dans le monde et à soutenir le développement socio-économique durable dans les pays en développement, tout en renforçant les relations amicales entre la Corée et ces pays.
En faisant de la santé, de l’éducation, de la gouvernance, de l’agriculture et du développement rural, de la technologie, de l’environnement et de l’énergie ses secteurs prioritaires, la KOICA met en œuvre des programmes de subventions par le biais de ses projets de développement, de son programme d’échange d’expériences en matière de développement (DEEP), de ses programmes de volontariat international et de bourses d’études, de son aide d’urgence, de sa coopération multilatérale, etc. En 2021, le soutien de la KOICA s’élèvera à environ 636 millions de dollars. À l’heure actuelle, la KOICA dispose de 47 bureaux nationaux dans le monde entier.
